À toi cher Grand-Frère-que-je-m’ennuie-tant.
C’est la première lettre que j’t’écris. J’sais pas pourquoi d’ailleurs que je ne l’ai jamais fait avant aujourd’hui. Peut-être parce qu’on s’dit tellement tout qu’ça fini souvent par des « Dis-le pas à maman », même à 28 ou 33 ans. Peut-être parce que j’suis pas une grande jaseuse au téléphone et ni une grande Skypeuse. Continue reading